10 Mot de de la fin par Mgr Garnier

Le service des frères

Trois diacres vivent Diaconia en servant les plus pauvres

 

 

 

Invité à prononcer le mot de la fin, Mgr Garnier, qui a suivi tous les débats avec une grande attention, commence par résumer le message clé de chacun des intervenants :

 

Valérie : "Je veux donner ce que je n'ai pas reçu."

 

Boniface : "Avoir le droit de travailler."

 

Pierre maréchal : "Nécessité de déculpabiliser les personnes sans emploi"

 

Gérard Marle : "On ne veut pas écouter pas la parole collective des chômeurs : 300 chômeurs manifestent mais on continue. Heureusement qu'il y a les catholiques."

 

François Soulage : "L'emploi n'est pas encore devenu un enjeu politique de notre société."

 et : "Au Secours Catholique,  on ne fait pas de  différence entre les accueillants et les accueillis."

 

Mgr Garnier évoque ensuite les conséquences de la crise économique, par exemple l'hôpital de Maubeuge qui n'a plus les moyens de payer un aumônier à temps plein.

 

Il rapporte aussi les propos d'un élu national qui a dit aux évêques : "Occupez-vous des migrants, moi si je m'en occupe, je perds les élections !"

 

Il dit ensuite combien il est fier, par contre, de trois diacres du diocèse qui vivent concrètement l'esprit de Diaconia en se mettant au service des Roms présents dans le diocèse.

 

Mais il évoque ensuite la préoccupation des évêques devant la disparition des communautés de religieuses dans les quartiers les plus pauvres. Et il termine par cette boutade : Les gens disent : "Les religieuses sont nos Sœurs, les prêtres sont nos Pères. Quand on voit ce que les Sœurs font, on peut croire ce que les Pères disent… !"

 

Sur ce bon mot, chacun s'est levé pour poursuivre ce débat par petits groupes, au cours du cocktail dinatoire qui a clôturé ce colloque.

 

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Vous pouvez cliquer sur les interventions qui vous intéressent pour visionner les études vidéo correspondantes :

 

 

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